L’Aurore est l’histoire d’un aller et retour entre campagne et ville, et d’un voyage de noces paradoxal. C’est aussi un voyage intérieur, pour les deux protagonistes et pour le spectateur : celui de cette « mise en mouvement » de l’âme que constitue l’émotion, exprimé par cette « écriture du mouvement » qu’est le cinématographe.
Rien d’étonnant donc à ce que, dans ce film de voyage(s), le travelling soit présent, sous toutes ses formes.